• Quelques critiques parues sur la toile...

    La critique d'Anda (extrait)

    Maliasca a selon moi beaucoup d'atouts mais l'un d'eux est indéniablement son personnage principal, Rwan. Celui-ci dénote de l'habituel héros plein de courage et de bonne volonté et offre une image un peu plus banale, voire pathétique (...). Bref, c'est un personnage développé, original, agaçant par certains de ses travers mais attachant malgré tout, doté d'une énergie rafraichissante.
    En dehors de ses personnages, Maliasca est aussi un univers extrêmement fascinant. Très familier et à la fois très exotique, il vous fera voyager d'un endroit et d'une peuplade à l'autre, par quelques mots simples mais justes qui savent mettre en image toute la diversité du monde que Malia a imaginé. Tout comme son univers, l'auteur sait mener son intrigue avec brio : sans rien inventer de trop compliqué ou révolutionnaire, elle parvient à vous tenir en haleine jusqu'au point final du récit (et même au-delà), jouant habilement avec les non-dits, les secrets et les mensonges jusqu'à nous faire réaliser que même lorsque l'on pensait avoir obtenu le fin mot de l'histoire, on se trouvait encore loin de la réalité.
    Maliasca remplit donc ses objectifs à la perfection, c'est une aventure dynamique qui saura vous faire voyager, vous charmer et vous accrocher du début à la fin.

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    La critique de Kamo (extrait)

    Avec son roman, Malia nous invite à un véritable voyage au travers des contrées imaginées soigneusement par son imagination fertile. Et ce qui est frappant c'est que tout coule, tout semble normal une fois passée la surprise de la découverte, comme si ce monde imaginaire se suffisait à lui même. Pas de fioriture, pas de description de quinze mille pages, juste le nécessaire pour que tout paraisse réel, tangible, comme si l'on pouvait toucher du bout des doigts ce qui se dessine sous les mots de l'auteur. Donc en résumé, point positif numéro un : un univers unique dans lequel on a plaisir à voyager.
    Ensuite, ce que j'ai apprécié aussi, ce sont les personnages : Rwan, qui comme dit précédemment n'est pas parfait, et que l'on voit évoluer au fur et à mesure des chapitres, Jonah, Lizia et ses petites cachoteries dont j'aimerais avoir la clé, et aussi Sanouk. Surtout Sanouk, quel numéro ! Apparemment, soit on l'aime soit on la déteste, pour ma part c'est la première option qui s'est imposée à moi. Un personnage réellement haut en couleur, mystérieux et en même temps accessible. On rêverait tous d'avoir une amie excentrique mais toujours présente comme elle, en somme ! Sinon, j'adore Zoltan aussi, le félin de Jonah, j'espère qu'on continuera de le voir apparaitre à l'avenir, et que son "personnage" sera un peu plus développé même.
    Enfin l'intrigue, qui à la lueur du dernier chapitre paru au moment où je vous parle (le 7ème) prend une tournure assez inattendue et se révèle plus complexe que l'on aurait pu le penser. La lettre, Thanis, Jonah, Lizia, Rwan, Sanouk... Autant de personnes et d'éléments qui semblent au premier abord de pas avoir de lien, mais en réalité... On ne le saura qu'en lisant la suite ! Et puis bon, je n'en ai pas parlé jusqu'ici mais ça tombe sous le sens : la plume de Malia est parfaite pour l'histoire qu'elle nous conte. On dirait que son style fait partie intégrante de son histoire, comme tout le reste : il est sans fioriture, juste ce qu'il faut de beauté et de poésie. C'est fluide, c'est doux, c'est coloré, on se laisse porter par ses mots...
    Pour conclure cette critique qui pour une fois ne comportera pas de points négatifs dans la mesure où je n'en ai pas trouvé, je ne peux que vous enjoindre sincèrement à aller lire cette histoire, si vous aimez la fantasy il n'y pas de doute que vous serez happé par les mots de Malia dès les premières phrases !

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    La critique de LorianO (extrait)

    Maliasca, c'est une histoire qui ne paye pas de mine. Mais ne vous fiez pas aux apparences ! Parce que dès qu'on y plonge, ça déborde de richesses insoupçonnées. D'abord un monde vaguement hippie au premier abord, et qui se révèle beaucoup plus complexe et morcelé quand on s'y enfonce. Des personnages qui apparaissent assez simples mais qui se révèlent bien plus complexes, bien plus humains, bien plus réels que ce qu'on pourrait croire. Loin d'être tout noirs ou tout blancs, ils ont leurs qualités et leurs défauts, leurs faces d'ombres et leurs ressources cachées. L'intrigue aussi. D'une simple lettre à remettre à son propriétaire, elle se déploie peu à peu en ramifications diverses et pourtant liées. À chaque chapitres, de nouvelles découvertes toutes plus mirifiques les unes que les autres, de nouvelles intrigues, toutes plus étendues et pourtant plus liées les unes aux autres. Peu à peu, on s'immerge, on découvre, et on s'émerveille. Quelles ressources vont encore apparaître ? Quelles histoires vont se greffer ? Quels mystères vont s'ajouter ? Maliasca est une perpétuelle découverte, un régal pour les yeux et la tête, un bonheur retrouvé à chaque nouveau chapitre. Et c'est ça que j'aime. Ne pas savoir à quoi s'attendre, mais savoir que ce sera encore mieux que ce qu'on avait déjà lu, qui est déjà très bien. Savoir qu'on va ressortir conquis, charmé et émerveillé. C'est une bouffée d'air frais, complexe dans sa construction mais aisée dans son approche, empli de gentillesse, de gens humains et un peu perdus, de paysages qu'on veut explorer. Maliasca, c'est un lieu où on a envie d'aller.

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    La critique de Sachiko (extraits)

    Si vous avez envie de lire une histoire où l'intrigue est bien menée, où les révélations et les mystères sont bien dosées, où les rebondissements sont toujours là à point nommé, alors je vous encourage à vous lancer dans Maliasca. Il est certain que vous passerez un excellent moment en compagnie des personnages, à voyager dans leur monde et à en découvrir les secrets !

    J'ai beaucoup aimé la façon d'écrire de l'auteur qui est à la fois légère mais ultra bien dosée, avec ce qu'il faut de détails quand il faut et où il faut. Des phrases bien rythmées qui vous emportent dès les premières lignes, un vocabulaire adapté, le tout coule avec fluidité et vous ne voyez plus le temps passer. Très franchement, cette fiction allie efficacité et équilibre, que ce soit dans la narration, les dialogues ou la mise en place de l'intrigue. J'ai adoré !

    Autre chose que j'ai beaucoup aimé dans les descriptions de Malia, c'est sa façon de construire la richesse de son monde sans en avoir l'air. Au détour d'une petite phrase, c'est une nouvelle plante, une nouvelle coutume, une nouvelle invention que vous allez découvrir. Là encore, sans entrer dans les détails, elle arrive à vous dépeindre un monde complexe que vous découvrez en même temps que les personnages et sans jamais vous étouffer sous de nouvelles informations. Et ça, j'adore !

    La seule chose que je puisse vous dire sur le style de l'auteur, c'est qu'il est maîtrisé. À la fois léger mais bien dosé, elle sait comment introduire les éléments descriptifs, les sentiments et actions sans tomber dans le trop ou le pas assez. Résultat : vous ne vous ennuyez pas une seule seconde. Grâce à son style fluide et agréable et ses dialogues dynamiques et réalistes, vous êtes tout de suite emportés dans l'histoire et vous partez à la découverte d'un univers à la richesse insoupçonnée.

    En résumé, Maliasca est une fiction présentant un univers riche, bien construit et bien présenté, que nous découvrons à travers les différents personnages qui composent le groupe de héros de l'histoire. Des personnages attachants, tous différents et bien menés que vous allez forcément apprendre à aimer. L'intrigue, elle, saura vous charmer par sa simplicité et son petit côté « roman d'apprentissage » où vous naviguerez de découverte en découverte et de mystère en mystère. Le tout vous est conté par un style léger, fluide et bien équilibré qui saura vous emporter dès les premières phrases avalées.

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     La critique de Tiphs (extrait)

    Parmi les nombreux clichés de la fantasy, on a tendance à tomber inlassablement sur cet enfant élu des Dieux ou de ta mère, qui apprend tout avec une rapidité exceptionnelle, qui n'a jamais peur, sauf des fois où il se met à pleurer pour montrer son côté sensible, qui est gentil, grand, beau, qui sent le sable chaud et... et là, c'est pas le cas. Là, on voyage avec quelqu'un qu'on pourrait qualifier de banal et de ce fait, on s'identifie très bien à lui !
    Rwan est humain. Un minable voleur qui joue un peu de malchance, qui n'a rien de grand ou de tellement charismatique qu'il laisse des dizaines de coeurs éplorés derrière lui. Je l'aime beaucoup à cause de ça. Il est imparfait, lâche et paumé, ce qui par contraste nous fait d'autant plus apprécier sa nouvelle compagne.
     
    Car si je me suis attachée à Rwan au bout de plusieurs chapitres, je dois bien avouer qu'en revanche, Sanouk a remporté mon affection dès son arrivée ! Un peu chieuse au début, on sent malgré tout le mystère qui l'entoure et l'esprit aiguisé qu'elle possède. Elle est intelligente et observatrice, affirmée sans être grande gueule. Je l'adore. Là encore, on aurait pu craindre une caricature de la gamine grande gueule qui n'en fait qu'à sa tête, mais même pas. Je ne sais pas où l'auteur va chercher toute cette justesse dans les comportements de ces personnages...

    Une chose qui m'a charmée, ce sont les descriptions : très loin de l'énumération classique qu'on trouve d'habitude, l'auteur sème les détails physiques de ses personnages au milieu de phrases bien pensées qui nous font allier physique et caractère, nous démontrant ainsi toute sa maîtrise de l'écriture. On visualise les héros sans le moindre effort tout en évitant cette liste si agaçante "elle portait une veste, avait les cheveux bruns qui tombaient sur ses épaules, les yeux bleus et la peau mate...". 
    Les descriptions des lieux, en revanche, ne m'ont pas encore permis de m'imaginer les environs avec précision, mais les personnages sont tellement hauts en couleur que, franchement, pour l'instant je me contente très bien de ce que l'auteur nous donne ! 

    Je crois que c'est la première fois que j'ai l'occasion de lire une histoire rédigée de cette façon sur le net. J'ai l'habitude de voir des styles semblables dans des livres, de vrais livres, et euh, waw, mais comment se fait-il qu'il n'y ait pas encore de bouquin de sorti ??

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    La critique de Mio (extraits)

    Le rythme est bon et la façon dont les différentes histoires se rencontrent et se croisent révèle une maîtrise solide de la trame. L'intrigue avance assez vite (l'histoire est relativement courte, surtout pour de la fantasy) et cela devrait plaire à ceux qui aiment quand l'auteur ne tourne pas autour du pot ou ne se perd pas dans des digressions.

    L'autre point fort de cette fiction, c'est le monde dans lequel l'auteur nous propose de voyager. Il est très bien décrit sans pour autant noyer le lecteur dans les informations « techniques » et les digressions « point culture ». L'auteur nous immerge dedans, doucement, régulièrement, tout en nous laissant entrevoir la richesse de son univers : richesse visuelle, scientifique, culinaire, architecturale, culturelle... Maliasca est une invitation au voyage, jamais plombée par des lieux sinistres ou agressifs. Même les noms sonnent toujours doux à l'oreille : la forêt de Sayang, Medouän, la Senaora, Djianouhty... Point d'orcs, de batailles ou de dragons ici ; on croirait presque partir à la découverte d'un continent encore inexploré de notre bonne vieille Terre, avec ses peuples aux traditions quasi tribales qui vivent globalement en paix et en harmonie. L'ensemble de l'histoire est à cette image, plutôt une exploration qu'une épopée grandiose, plutôt aventure que fantasy violente. Et en plus, pas de frustration : l'histoire est bouclée !

    Vous l'aurez compris, j'ai aimé l'univers de Maliasca et son atmosphère, une histoire fantasy comme celle-ci vaut le détour et je vous la recommande pour une lecture pas prise de tête, rythmée et optimiste.

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